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École d’ingénierie mécanique et numérique

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Un été avec nos étudiants – Marie-Emmanuelle BONDO

31 07 20

Pour découvrir ISAE-Supméca, durant tout l’été nous vous proposons de faire connaissance avec nos étudiants.

Aujourd’hui Marie-Emmanuelle, étudiante de la promotion 2020. Elle suit actuellement un master double-diplôme à l’École Centrale de Nantes et École Navale.

 

Qu’est-ce qui t’a motivée à venir à ISAE-Supméca ? 

Ce qui me fascine dans le monde de l’ingénierie, c’est donner forme aux sciences. Avec ISAE-Supméca, je savais que je pouvais en plus visualiser la mécanique que j’étudie, et avant tout apprendre par l’expérience. Ce dernier point est l’un des gros avantages d’ISAE-Supméca : la qualité des projets que ce soit en « cours » ou en stage est portée avec attention. Toutes ces aspects ont donné une renommée à ISAE-Supméca, ce qui m’a motivé à intégrer cette école.  

 

 

Peux-tu donner des éléments de ton cursus de formation ou de tes choix à venir (stages, mobilité, parcours…) ? 

Mon parcours est particulier : je poursuis mon parcours mécasupien par un master à Centrale Nantes en architecture naval et opération maritime. Il s’agit même d’un bi-master puisqu’il est né de la collaboration de l’Ecole Centrale de Nantes et l’Ecole Navale, établissement au sein duquel j’ai également des cours donc. Pour faire cours, je fais un double-cursus diplômant Ingénieur (ISAE-Supméca) et Master (Centrale, Ecole Navale). Pourquoi ce choix ? Mon rêve est de me spécialiser dans le naval de défense, j’ai vu cette possibilité, j’en ai parlé à l’administration et me voilà à finir mon master l’année prochaine. Bien évidemment mon parcours ne se résume pas qu’à de grandes écoles ; au contraire, ce que j’ai appris est que l’expérience est essentiel pour vous former et aussi pour affirmer ou infirmer vos aspirations les plus profondes. Quand j’étais en Angleterre, pour mon stage de seconde année, je me suis retrouvée sur deux projets d’Airbus avec des problématiques différentes (l’un c’était de la modélisation CAO, l’autre du traitement d’images). Le secteur n’était pas celui de prédilection, mais il me fallait me challenger et ouvrir mon esprit. J’ai alors compris quelle science je voulais concrétiser et sous quelle forme. Pour moi ça a été une révélation, et pour la suite, j’espère pouvoir m’améliorer en programmation et allier simulation, conception, et programmation dans le milieu naval de défense.  

 

 

Quel serait ton métier d’ingénieure idéal ? 

Pour ma part, il s’agirait d’un métier dans le secteur naval de défense, à travers lequel j’ai la flexibilité d’appliquer mes valeurs éco – logiques et qui m’assigne des objectifs précis sans pour autant m’enfermer dans une case. J’ai aussi besoin de ce sentiment d’utilité, de service, et de moteur pour les autres dans mes projets. Je me souhaite de conserver dans ma vie professionnelle ce mélange entre le travail et la passion que j’allie parfois dans mes projets. Le métier idéal sera alors atteint !  

 

 

Quand tu ne fais pas de la méca, tu fais quoi ? 

Je fais bouger une autre mécanique. Celle de mon corps par la pratique de mon trio sportif gagnant : course, CrossFit, et de l’aviron (moins depuis le confinement) ; et celle de mon esprit en découvrant d’autres sciences comme la programmation. On n’oublie pas les basiques de l’étudiante ou de l’étudiant : suivre l’actu, regarder des séries, dormir, et se promener. 

 

Lien vers « un été avec nos étudiants »