Le Groupe ISAELe Groupe ISAE rassemble les grandes écoles françaises d’ingénieurs aéronautiques et spatiales. Il se compose de l’ISAE-SUPAÉRO, de l’ISAE-ENSMA, de l’ISAE‑Supméca, de l’École de l’Air, et de l’ESTACA. La mécanique et les systèmes complexes occupent une place centrale dans le secteur aéronautique et au fil des années, ce dernier est devenu le premier employeur des ingénieurs ISAE‑Supméca. Tournée depuis de nombreuses années vers le secteur aéronautique et partageant les valeurs du Groupe ISAE, ISAE‑Supméca a souhaité approfondir ses relations avec les 4 autres écoles du Groupe et développer avec elles des projets en commun dans les domaines de la formation, de la recherche ou bien encore du numérique et participer activement au rayonnement du Groupe. |
Le Concours Mines-TélécomDepuis 2025, les étudiantes et les étudiants qui postulent au Concours Mines-Télécom peuvent intégrer ISAE-SUPMÉCA. À partir de 2026, ils pourront intégrer deux autres écoles du Groupe ISAE : ISAE-ENSMA et la filière ingénieur de l’ENAC. Avec l’arrivée de ces trois écoles dans le Concours Mines-Télécom, s’ouvrent de nouvelles possibilités d’intégrer un parcours de formation de haut niveau dans le domaine aéronautique et spatial. Le Concours Mines–Télécom rassemble 18 grandes écoles publiques. Il est accessible aux élèves des classes préparatoires des filières MP, MPI, PC, PSI, PT, TSI, BCPST. En 2025, le Concours Mines-Télécom est l’un des plus importants en nombre de places offertes, avec près de 2054 places. Plus d’informations : https://www.concours-mines-telecom.fr/ |
CY AllianceISAE-Supméca est membre de CY Alliance qui regroupe 15 établissements d’enseignement supérieur et de recherche de l’ouest francilien autour de CY Cergy Paris Université. |
Le réseau PolymécaLe réseau Polyméca regroupe ISAE‑Supméca, l’ISAE-ENSMA, l’ENSEIRB-Matmeca, Supmicrotech, l’ENSIAME, l’ENSTA-Bretagne, l’ENSCI, Seatech et SIGMA Clermont. Ces 9 écoles nationales supérieures d’ingénieurs orientées vers la mécanique ont chacune leurs propres spécificités. Les écoles se sont réunies pour proposer un choix plus large de parcours en proposant des échanges en dernière année ou donnant la possibilité de faire un Double-diplôme entre deux des écoles du réseau. |
La CTILa Commission des titres d’ingénieurs (CTI) est un organisme indépendant, chargé par la loi française depuis 1934 d’évaluer toutes les formations d’ingénieur, de développer la qualité des formations, de promouvoir le titre et le métier d’ingénieur en France et à l’étranger. Ainsi, de par ses missions et compte tenu de sa composition, de son expérience et de ses visites régulières dans les écoles, la CTI s’assure de la qualité des formations d’ingénieur et de leur adaptation permanente au contexte européen et international, académique et professionnel, et en apporte la garantie. La CTI a renouvelé son habilitation à ISAE‑Supméca en 2014 pour la durée maximale. Retrouvez ISAE‑Supméca dans la liste des formations accréditées |
La CDEFILa Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI) représente l’ensemble des directeurs et directrices des établissements, ou composantes d’établissements, publics et privés, accrédités par la Commission des titres d’ingénieur (CTI) à délivrer le titre d’ingénieur diplômé. |
La CGELa Conférence des grandes écoles (CGE) regroupe 220 Grandes écoles (ingénieur, management, architecture, design, institut d’études politiques…) toutes reconnues par l’État, délivrant un diplôme de grade master. La CGE valorise l’expertise collective de ses membres et le rôle des Grandes écoles dans le paysage de l’enseignement supérieur et de la recherche. La CGE participe activement aux réflexions concernant l’enseignement supérieur et assure un rôle de représentation de ses membres auprès des pouvoirs publics, des acteurs de l’économie et de la société. |
Elles BougentLa principale ambition de l’association Elles bougent est de renforcer la mixité dans les entreprises des secteurs industriels et technologiques. Les femmes y représentent encore un faible pourcentage des effectifs et les entreprises les voudraient plus nombreuses à choisir de travailler dans leurs domaines. ISAE‑Supméca s’associe à cette démarche pour faire savoir que l’on peut être femme et ingénieur dans l’industrie. |